Il y a ceux qui crient sans qu’on les entende. Ceux qui se ferment, ceux qui explosent, ceux qui se fondent dans le décor. Ceux qui se débattent à l’intérieur, alors qu’à l’extérieur… tout le monde croit que ça va.



Il y a des parents qui font de leur mieux, mais qui se sentent impuissants. Qui culpabilisent. Qui doutent. Qui se demandent où ils ont raté. Qui voient les résultats scolaires baisser, la communication se couper… et qui finissent par douter de leur rôle tout court.



Il y a des ados qui se sentent trop, ou pas assez. Qui font semblant d’aller bien mais s’effondrent dès qu’ils sont seuls. Qui saturent des critiques, des attentes, des notes, des injonctions à “faire mieux”. Des jeunes qui se sentent seuls dans une foule, seuls dans leur chambre, seuls dans leur tête.




Et puis il y a les pros. Ceux du soin, de l’éducatif, du scolaire. Ceux qui veulent bien faire. Mais qui manquent de temps, de formation, de soutien. Ceux qui se disent en silence : “Je sens bien que ça ne suffit pas... mais je ne sais pas quoi faire de plus.”


Qui je-suis ?

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